William S. Hockward ` To live is to hide.

# Identité

• Nom : Hockward.
• Prénoms : William, Selomon. Si l'un est éminemment lié à ses origines gaëliques, l'autre en revanche - qu'il faut prononcer ‘Sélomone’ soit dit en passant - est en fait un dérivé du prénom Salomon. C'est sa mère, une vraie férue de culture religieuse, qui a insisté pour qu'il le porte.
• Surnoms : Bien qu'il ne soit guère friand de ce genre de bagatelles, il est obligé de faire avec, son prénom se prêtant aisément au jeu. Ses proches l'appellent donc Wil' - si vous tenez un tant soit peu à votre vie, n'osez jamais le ‘Willy’ - et ses collègues Hockward.
• Date de naissance : Un 31 décembre des plus brumeux.
• Age : 28 ans.
• Signe Astrologique : Né sous le signe du Capricorne, William est un être déterminé, méticuleux, ayant le contact très facile. Néanmoins, son ascendant - Poissons - nuance considérablement les caractéristiques majeures de son signe natal. Il fait de lui un solitaire épri de liberté, un écorché vif pour qui la vie n'a plus le moindre sens.
• Lieu de naissance : Glencoe, petite bourgade rendue célèbre par son lourd passé, au nord-ouest de Glasgow.
• Nationalité : 100% Ecossais.
• Statut / Occupation : Officiellement, détective privé, officieusement, agent de Black Eagle. William a délibérément choisi cette carrière parce qu’elle lui permet de rester dans l’ombre. Ainsi, il peut aisément mener à bien ce qu’il considère comme une priorité : l’éradication totale de tous les sorciers.

# Portrait psychologique & physique

• Caractère : Si vous interrogez ses proches, tous vous diront qu’Hockward est un homme bourré de défauts mais que cependant - pour une raison qui demeure inconnue à ce jour - on ne peut pas s’empêcher de l’apprécier. Il est vrai qu’au premier abord, William semble être le gendre idéal : bouille d’ange livrée avec un cerveau - ce qui se fait de plus en plus rare au jour d’aujourd’hui, soyons honnêtes -, il fait de sa culture et de son humour deux atouts majeurs, que dis-je, deux armes redoutables qui lui permettent - bien souvent - d’obtenir les informations dont il a besoin pour faire avancer ses diverses enquêtes et ainsi aider les citoyens qui ont fait appel à lui. Ses deux jobs sont réellement ce qui comptent le plus à ses yeux - il refuse de s’attacher à qui que ce soit - deux ports d’attache, les seuls d’ailleurs, pour lesquels il est prêt à tout. Efficace, il est rare de le voir échouer - ou alors c’est uniquement parce qu’il faisait équipe avec Shelby - car son perfectionnisme ne le supporterait pas. Du coup, William use toujours de toutes les techniques possibles et inimaginables pour mener à bien ses missions : ruses, mensonges, manipulations, il ne recule devant rien. Sauf la trahison. Vous ne le verrez jamais pactiser avec l’ennemi ou encore tromper ses quelques amis car derrière cette personnalité obscure, fourbe, se dissimule en réalité une grande sensibilité et surtout, un cœur en morceaux. Il vous faudra creuser profond pour en trouver les causes d’autant qu’il n’est pas du genre à déballer sa vie privée sans raison. Bien au contraire, il se montre souvent froid, imperturbable comme si rien ne l’atteignait. Un vrai bloc de glace. Obstiné, de surcroît car William veut toujours avoir le dernier mot. Il est ainsi persuadé que sa vision pessimiste du monde est juste. Son attitude désabusée le rend souvent sarcastique. Il peut alors se lancer dans des soliloques dénués de tout sentiment, et surtout d'espoir. Il faut dire que les mots sont clairement ce qu’il maîtrise le mieux. Doté d’un sens de la répartie hors du commun, il sait user de cynisme avec brio mais aussi et surtout retourner une situation en sa faveur rien qu’avec du blabla. Il provoque souvent, attaque même, parce qu’il estime que c’est la meilleure défense possible. Contre les gens. Contre les sentiments. Contre la peine qui s’ensuit logiquement lorsqu’on les perd parce que, oui, tôt ou tard, on les perd. Néanmoins, si vous faites preuve de patience et d’intelligence, il se peut que vous trouviez le chemin menant vers son petit cœur.

• Trois défauts dominants : William obéit à la loi des 3 ‘S’, loi qu'il a lui même inventé et qu'il aime à rappeler quand on le critique, ce qui signifie qu'il est sarcastique, sournois, secret et qu'il l'assume.

• Trois qualités dominantes : Très charmant, du moins au premier abord, réfléchi et sensible.

• Manies & Habitudes : Outre les manies masculines habituelles telles que se mordiller l’intérieur de la joue ou encore se passer négligemment la main dans les cheveux, William aime établir une distance de sécurité lorsqu'il est en présence d'un inconnu - surtout si cette personne est de sexe féminin. En effet, il ne supporte pas qu'on le touche si, intérieurement, il ne l'a pas lui-même accepté. Dans le même esprit, il appelle toujours - ou presque - les gens par leur nom de famille. C'est une manière comme une autre de prendre du recul car cela lui permet d’établir une relation purement frivole, sans attache ni intimité. Enfin, Hockward ne peut pas s’empêcher de voler un objet - de préférence une photo - ayant appartenu à la personne qu’il vient d’assassiner, le tout discrètement bien sur. Rassurez-vous, il n’a aucune tendance à la kleptomanie, c’est juste un moyen comme un autre de rester fidèle à son principe de base : éliminer sans jamais oublier ce qu'on a fait.

• Apparence physique : Bien qu’il soit loin - très très loin même - de l’idée que les femmes se font généralement d’un ‘beau gosse’, William possède quelques atouts. En effet, même si l’on ne peut pas comparer sa carrure à celle d’un mannequin professionnel - de toute manière, il a toujours trouvé tous ces muscles rebutants - Hockward possède tout de même une silhouette avantageuse, élancée. Sa démarche assurée conforte son élégance naturelle : il garde toujours cette prestance propre aux aristocrates - ce qu’il est, puisque sa famille est l’une des plus riches d’Ecosse - et ce quelque soit les circonstances, cheveux ébouriffés ou pas, barbe de deux trois jours ou pas. Will est en fait un homme on ne peut plus charismatique : il dégage une sorte d’aura - que l’on appelle plus communément ‘charme’ - et laisse rarement indifférent. De surcroît, il connaît ses atouts ce qui le rend d’autant plus dangereux. Ses deux revolvers bleus sont constamment braqués sur son ou ses interlocuteurs car il sait pertinemment que c’est l’une de ses armes de séduction. Ses habits tout comme les tons discrets qu’il mélange ont quelque chose d’atypique. Disons simplement qu’il ressemble à ses dandys du XIIIème siècle. C’est un soleil couchant : superbe, inaccessible et plein de mélancolie.

# Autres

• Il a la phobie des Bibliothèques.
• Il fume cigarettes sur cigarettes depuis qu'il a 18 ans.
• Son piano est assurément l'objet auquel il tient le plus. Il appartenait à celle qui lui a enseigné les rudiments de la musique : sa mère. Il en joue souvent - pour ne pas dire tous les jours - mais veille à ce que personne ne suspecte sa passion. Il a juste mis Madame Carabolla - la concierge de l'immeuble qui le prend pour le petit fils de Kevin Costner, d'ailleurs il n'a jamais démenti - au courant. Ainsi, chaque fois qu'un voisin vient la voir pour lui demander qui joue du piano à n'importe quelle heure du jour et de la nuit, Carabolla prétend que c'est Monsieur Fost, un solitaire dont les sauts d'humeur effraient tous les locataires, qui fait encore des siennes. Bien entendu, personne n'ose aller frapper à sa porte. Et Hockward peut jouer tranquille.
• Il ne peut pas s'empêcher de machouiller les pailles.
• Ne riez pas mais Will possède un « piggy bank » - une tirelire en forme de cochon si vous préférez - dans lequel il stocke des pièces de collection.
• Il déteste le gel.
• Et les comédies sentimentales.
• Et les strings.
• Et les anglais.
• Et les frites.
• Et le soleil.
• Vous l'aurez compris, William n'aime pas ce que - généralement - tout le monde aime.
• Il préfère égorger les sorciers plutôt qu'utiliser son arme à feu.
• Sa Seat Ibiza noire est l'endroit où il passe le plus clair de son temps.
• Les seuls disques que vous trouverez dans la boîte à gants sont ceux de U2 - il est fan - et ne vous avisez jamais - j'ai bien dit JAMAIS - de lui conseiller un autre groupe. Shelby est la seule qui persiste -« Allez quoi, change un peu, on dirait un papi obstiné là », « Le papi il a peut-être quatre ans de plus que toi mais lui au moins il a pas de cheveux blancs », « Des ... Quoi ? T'insinue quoi là ? », « Toutes les mêmes » - ce qui bien souvent donne lieu à de longs dialogues dépourvus d'intérêt où chacun s'affronte pour avoir le dernier mot, oubliant complètement la cause initiale de leur prise de bec.
• Les nuits blanches ne sont pas - plus - un problème.
• Il carbure au jus d'orange pressé.
• Shelby possède le double de ses clés de voiture.
• Il porte toujours l'alliance de sa femme, preuve qu'il n'a toujours pas fait son deuil.
• Le poker c'est fini. Il ne veut plus jouer depuis que Shelby lui a foutu une raclée monumentale.

• Personnalité de l'avatar : mon très sex cher et tendre Hugh Dancy
• Surnom : gueuh. Appelez moi Nana, ça fera l’affaire.
• Sexe : ça dépend avec qui.
• Comment avez-vous connu le forum : par partenariat!
• Commentaires ? : je suis complètement fan du design, j'ai adoré le contexte - concis et facile à comprendre - bref, forum où j'ai grande envie de mettre la main à la pâte.

# Biographie

• Anecdote de l'adolescence :



Les voitures arrivaient par dizaines, surgissant de tous les horizons. Noires. Elles accouraient, se hâtaient comme si leur propre vie en dépendait et s’entassaient dans le jardin de l’immense demeure des Hockward. Sombre. William les observait méticuleusement du haut de sa fenêtre, classant chaque personne dans l’une des trois catégories suivantes : les R.A.F - rien à faire - ou ceux pour qui cette mort ne changerait strictement rien, les curieux, là uniquement pour pouvoir ensuite colporter des ragots, et les S.D - les sincèrement désolés. Soudain, il aperçut un homme se jeter dans les bras de sa tante. Et il se dit qu'il était urgent - très très urgent - d'inventer un nouveau groupe, celui des désespérés. Son père - car oui, cet aristocrate barbu, négligé, les yeux rougis par une nuit blanche de chagrin était bel et bien son père - ressemblait à un fantôme. Lui-même ne le reconnaissait pas. Plus. Jamais il ne l'avait vu dans un tel état.

" William ? " La porte de sa chambre s'entrouvrit légèrement, suffisamment pour que Neala puisse y passer sa tête. " Il faut que tu descendes. Ton père va bientôt faire son discours. "

" Vu l'état dans lequel il est, ça m'étonnerait. " rétorqua t-il sur un ton neutre, absent.

Elle baissa la tête, ne sachant que répondre. Il avait raison, elle le savait.

" Fais pas cette tête, moi je vais très bien. C'est juste mon père qui m'inquiète. "

" Joue pas à ce petit jeu là avec moi, Will. " persifla t-elle sans le quitter des yeux. " Tu parles plus. Tu manges plus. Tu restes enfermé dans ta chambre. Et tu vas bien. " Elle secoua machinalement la tête et vint se poster sous son nez. " Tu ferais mieux de t'inquiéter pour toi. " Il détourna la tête, les yeux avec, contenant du mieux qu'il le pouvait son envie de laisser libre cours à ses émotions, son envie de pleurer, d'hurler à l'injustice, tandis qu'elle réajustait sa cravate. " Crois-moi, tu es bien pire que ton père. "

Il fit quelques pas en arrière, se retrouvant ainsi face à lui-même ou plutôt au reflet que lui renvoyait le miroir sur pied. Et il eût un choc. Un vrai choc. Neala avait raison. La mort de sa mère - ou devrais-je dire l'assassinat - l'avait considérablement marqué physiquement : joues creuses, boucles brunes rebelles, teint pâle, regard creux. Il ne ressemblait à rien d'autre qu'à l'ombre d'un autre lui-même. Neala avait raison sur toute la ligne, ou presque. Car il n'était pas comme son père. Il n'appartenait pas au groupe des désespérés. Il n'appartenait à plus rien du tout. Pas même au monde. Il était vide. Mort. Lui aussi.


Charles Hockward est décédé à l'âge de 43 ans dans la nuit de samedi à dimanche. Aucune information n'a été révélée pour le moment. Il semblerait toutefois qu'une enquête soit en cours, Hockward n'ayant jamais été sujet à la moindre maladie comme nous l'explique sa gouvernante : " C'était un brave monsieur, jamais malade, jamais, jamais, jamais. Il s'est endormi serein, comme tous les soirs. Au moins, il n'a pas souffert. " [...]
_______________

William envoya valser le journal local, les yeux grisés par la colère. Quelle bande d'idiots, d'aveugles. Son père n'était pas mort de vieillesse. Sans souffrir. Son père était mort de chagrin. Le corps serein, peut-être. Mais le coeur brisé en mille morceaux.

• Anecdote de la vie actuelle :

" Lauren. Lauren ! " Les mains pleines de sang, William ignora totalement la présence du sorcier, pétrifié d'horreur lui aussi. " Lauren je t'en prie. Lauren ! " Il ne voyait qu'elle ou plutôt ce qu'il en restait. Un corps étendu sur le parquet. Sans vie. " Non, non, non " répéta t-il en la serrant contre lui. " Pas ça. Pitié. Pas ça. Pas toi. " Un flot de tristesse quittait ses yeux éplorés. Il aurait pu la baptiser avec ses larmes tant elles furent innombrables ce matin-là.

" Je... Je suis désolé, " articula difficilement son meurtrier. " je voulais pas. " Et il quitta les lieux. Dans les escaliers, il fut soudain prit d'une montée de stress jusqu'alors inconnue. Un cri venait de déchirer l'aurore. Un cri de douleur, de détresse. Un S.O.S haineux. Plein de rage et de colère. Rancunier jusqu'à la plus petite de ses cordes vocales. Et il sut que tôt ou tard, William le retrouverait et le tuerait. Ce qu'il ignorait, c'est qu'il venait aussi et surtout de lancer une machine à tuer. Insatiable car inconsolable.




Le cou tranché. Le regard apeuré. Il était d'un ridicule terrible. William l'entendait encore hurler - effrayé qu'il était - comme si ses cris étaient écrits sur le bleu du ciel.

" Au suivant. "

Cigarette à la main, il enjamba le corps et sortit.



à venir.

• Signes particuliers : William a une sainte horreur du look ‘bling bling’, chose plutôt logique vu son métier. Ainsi, vous ne le verrez jamais porter des tonnes de bijoux - il se contente d'une montre et de son alliance ce qui est amplement suffisant - ni même arborer des vêtements multicolores, excentriques. Par ailleurs, il ne supporte pas qu'on touche au corps humain. Pour lui un piercing ou un tatouage équivalent clairement à un ‘marquage’ ce que Monsieur refuse catégoriquement, bien évidemment. Il n'est pas un prisonnier ni même une vache d'ailleurs, c'est clair ?

• Déclic suite auquel votre personnage est devenu agent de Black Eagle : La mort de sa femme. Elle fut assassinée peu après leur union par un sorcier qui était, depuis longtemps, épris d'elle. Fou de jalousie - et voyant qu'elle n'avait et n'aurait quoiqu'il arrive d'yeux que pour William - il se rendit chez eux en l’absence momentanée d’Hockward - parti chercher des pâtisseries -, lui demanda une dernière fois de le quitter mais une fois encore elle refusa. Une fois de trop. Le sorcier perdit complètement le contrôle de ses pouvoirs et la tua accidentellement, ce que naturellement William ne lui pardonna pas. Le lendemain, on le retrouva mort, dans un état bien trop critique pour être décrit.

• Que pense-t-il des sorciers : Connards. Salauds. Enfoirés. Voilà ce qui lui vient en tête chaque fois qu’il est question d’eux. Effectivement, Hockward est quelque peu - bon d’accord, vraiment - extrémiste. Mais ne vous méprenez pas, il est loin d’être idiot. Une part de lui-même sait pertinemment qu’ils ne sont pas tous comme ‘ça’ ou plutôt comme ceux qui ont tué sa mère et sa femme mais sa colère est inconsolable, sa rancune insatiable. Chaque assassinat lui donne l’impression de se venger. L’ennui c’est qu’il est entré dans un cercle vicieux, sans issue. Jamais il n’aura la sensation réelle d’avoir compensé leurs actes, même en leur infligeant mille et une souffrance, même en décimant complètement leur race. C’est lui-même qu’il détruit en prenant des vies innocentes. Peut-être est-ce ce qu'il désire, inconsciemment ?

# Carnet de relations


BY KETENBRIEF
Meadow Coleman • (Sienna Miller)
Okay. Fermez les yeux. Imaginez-vous un bar bondé. Vraiment, hein. Comme s’il allait craquer. Vous, vous êtes moi. William Selomon Hockward. Ecorché vif. Là pour noyer votre peine dans la bibine. Vous n’avez pas pu choisir la meilleure des tables puisqu’elles étaient toutes prises. Tant pis. Vous engloutissez votre vodka. Et là, vous l’entendez. Elle. Gueuler. Hurler même. Après un gros ballourd super collant, visiblement. Mais un serveur vous empêche de la voir. Il prend sa commande et se tire. Et vous la voyez. Enfin. Un éclair blond. Vous restez bouche bé devant tant de beauté. Elle est resplendissante. De la tête au pied. Mais votre cœur bat vite. Trop vite. C’est mauvais signe. C’est trop. Vous prenez peur. Vous baissez la tête. Il faut oublier. Mais c’est trop dur. Vous voulez juste la regarder une dernière fois et imprimer son visage dans votre tête. Mais elle n’est plus là. Un mal pour un bien. Vous décidez de vous sauver. Sauf que quelqu’un vous percute. Elle. Son verre finit sur votre chemise. Elle est gênée. Vous êtes pétrifié. D'horreur. De bonheur. De désir. De tout. D’elle. Et sans que vous ayez pu articuler le moindre mot, vous vous retrouvez en route pour chez elle. Sur le chemin elle s’excuse. Vous voulez partir mais elle vous retient, insiste. Vous cédez. Une fois chez elle vous vous sentez étrangement bien. Mais vous ne voulez plus vous attacher. Vous passez la nuit à papoter. Et quand elle s’endort, vous partez. Plein de regrets. Mais il le faut. Et si le hasard vous faisiez à nouveau tomber l’un sur l’autre, que feriez vous ? Cèderiez vous une nouvelle fois ? Pour de bon ?


BY SIMPLY_ME88
Shelby Hoover • (Mila Kunis)
Pourquoi ? Oui. Pourquoi ? C’est en tout cas ce qu’il s’est demandé lorsque Shelby est entrée dans sa vie. Et il a eu beau interroger le ciel, Dieu et même les cucurbitacés, personne ne lui a jamais répondu - mais les légumes ont fini en potée, ils auront au moins servi à quelque chose, eux. Vous l’aurez donc compris, tout a très mal commencé entre eux. Chiante. Bavarde - euphémisme. Impulsive. Hyperactive. Elle n’avait rien - mais alors vraiment RIEN - pour lui plaire. Et pourtant, au fil de leur collaboration, Hockward su lire en elle et percevoir son extrême fragilité. Et même s’ils continuent à se chamailler 24h/24 - Shelby le croit télépathe, ce qui l’énerve fortement, tout ça parce qu’elle ne comprend pas comment il fait pour deviner ce qu’elle ressent, pense, voire même comment il fait pour la pousser à en parler - il est clair qu’il se passe vraiment quelque chose de fort entre eux. C’est plus que de l’Amitié. Mais est-ce réellement de l’Amour ?


BY DARKNUMB
Lawrence W. Evans • (Jared Padalecki)
A venir.

Bienvenue

Hugh ou le charme British par excellence

Merci Elfie!

Pandoudou ( ) { Et bah avec ça, si je te reconnais pas T'en fais pas, j'oublie rarement les gens que je rencontre sur les forums. Ca me fait plaisir de te retrouver ici

NANAMOUUUUUUUUUUUUUR.

Merdeuh. Je sais jamais qui c'est sauf que là, je peux trouver. Il n'y a que trois personnes qui m'appellent comme ça. Birdichette n'est pas là. Y m'a dit qu'elle jouait Mila. Alors euh, Apichou ?

Ca veut dire oui ?

HUUUUUUUUUUUUUGH
LACUNA COIL
GLENCOE (j'y suis allée)

Bienvenue. Il nous faudra un lien, obligé.

William S. Hockward a écrit:

Ca veut dire oui ?

Oui.

Et beh Reprenez votre souffle, c'est pas comme si c'était Johnny Depp

Samyrah { Lacuna c'est mon groupe d'amûr et Glencoe je rêve d'y aller même si, ok, ça fait un peu glauque dit comme ça, mais punaise, cette ville est trooop Pour le lien ce sera avec grand plaisir. Tous les pro-Lacuna sont mes amis

Apichou { Et t'as osé prendre cette horreur t'en fais pas je suis dans ma période j'en veux à toutes les stars féminines

William S. Hockward a écrit:

Et beh Reprenez votre souffle, c'est pas comme si c'était Johnny Depp

Samyrah { Lacuna c'est mon groupe d'amûr et Glencoe je rêve d'y aller même si, ok, ça fait un peu glauque dit comme ça, mais punaise, cette ville est trooop Pour le lien ce sera avec grand plaisir. Tous les pro-Lacuna sont mes amis

Perso, je le trouve mieux que Johnny (qui m'énerve depuis quelques temps. )

Je le comprend. Ils sont géniaux. Ils sortent bientôt leur premier DVD en plus. Et le prochain album aussi (si je me gourre pas). J'étais allée les voir en concert en 2006.
Bah écoute, Glencoe c'est quand même un petit bled. Il y a le monument qui commémore le massacre et après, ce sont surtout les paysages qui sont splendides. Enfin bon, j'ai pas vu beaucoup de choses le jour où j'y suis allée, parce que j'étais malade et je suis restée dodoter dans la voiture alors bon... *mode racontage de life*
Je te contacte pour le lien dès que j'ai une idée.

OH PUTAIN OH PUTAIN OH PUTAIN
*RESPIRE RESPIRE RESPIRE*

J'avais trop l'impression que ma soirée était foutue, nazobroke, détruite, et puis t'arrives et tu me fais hurler de joie JE SUIS TROP CONTEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEENTE



ZYVA JE M'EN REMETS PAS

... Ca m'apprendra à dire bienvenue, je me suis faite renvoyée direct dans mes 22.

Samyrah { Pas possible ? Je veux savoir pourquoi Non mais Johnny & moi c'est une grande histoire. Qu'a t-il fait pour descendre de ton estime comme ça ?
Non tu ne te trompes pas. Mais j'attends surtout le DVD moi parce que je les ai jamais vu en concert, j'ai peur Enfin bref, passons cette parenthèse pitoyable sur ma vie et mon caractère. Un jour j'irais Parce que Lacuna c'est Lacuna, ce sera toujours Lacuna !
Mais j'adore les petites bourgades. Et ouais, j'ai vu pleins de photos, je suis allée faire des recherches à la Bibli' et tout, j'me suis trop passionnée pour l'histoire de Glencoe quoi. Tu as trop de chance, vraiment, pas d'avoir été malade hein mais rien que d'avoir mis les pieds en Ecosse.
Très bien. Je vais tâcher d'aller lire ta fiche aussi dès que je peux. Si j'ai une idée je ferais de même.

Mon Y { Ouais, je suis trop forte comme fille . Je fais de la télépathie et tout. J'ai senti ton désespoir, je me suis dit 'hop hop hop', je débarque Blague à part, on a trouvé un bon scénar' avec Ma Créateuse Vaniteuse Framboisée Non mais j'espère que ça va quand même Tu me Mpotte si tu veux papoter, hein.

Pandoudou { Je n'ai pas oublié mdr ! J'oublie rarement mes surnoms débiles. Bah c'est Hugh quoi, faut pas chercher !

Apichou { Arrêteuh. Tu sais bien que j'te taquine. J'suis juste dans ma période "dégout compulsif des stars féminines" excepté Siennouche bien sur.

William S. Hockward a écrit:

Samyrah { Pas possible ? Je veux savoir pourquoi Non mais Johnny & moi c'est une grande histoire. Qu'a t-il fait pour descendre de ton estime comme ça ?

Je sais pas. Je le trouve 'chiant', maintenant. Trop prévisible. 'Fin je sais pas, il m'énerve.

William S. Hockward a écrit:

Non tu ne te trompes pas. Mais j'attends surtout le DVD moi parce que je les ai jamais vu en concert, j'ai peur Enfin bref, passons cette parenthèse pitoyable sur ma vie et mon caractère. Un jour j'irais Parce que Lacuna c'est Lacuna, ce sera toujours Lacuna !

Peur de quoi ? Parce que franchement, leurs concerts se passent nickel. Je n'étais pas dans la fosse (à mon grand regret, j'avais des places assises) mais ça avait l'air d'être génial dedans : pas un seul pogo (je déteste ça), des gens en transe. Et puis ils assurent, même si Cristina surjoue quand même un peu.

William S. Hockward a écrit:

Mais j'adore les petites bourgades. Et ouais, j'ai vu pleins de photos, je suis allée faire des recherches à la Bibli' et tout, j'me suis trop passionnée pour l'histoire de Glencoe quoi. Tu as trop de chance, vraiment, pas d'avoir été malade hein mais rien que d'avoir mis les pieds en Ecosse.

Ah oui quand même. Je connaissais juste l'histoire du massacre et puis les Trois Soeurs de Glencoe (des montagnes). C'est pas de la chance, c'est juste une envie que j'avais depuis longtemps d'aller là-bas alors avec des copines passionnées de l'Ecosse, comme moi, on a décidé de partir et, tant qu'à faire, faire tout le tour de l'Ecosse. Et nom d'un joli p'tit kilt qu'on a pas été déçues du voyage.

Woh c'est violent quand même. Bon quelque part, tant mieux, ça en fait plus pour moiii
Gueuh. Je peux pas vraiment en parler comme ça, je t'expliquerai par Mp au pire, c'est compliqué on va dire. Mais je pense que fosse ou pas fosse, ça doit être merveilleux.
Je suis assez excessive. Quand un truc me plaît j'y vais à fond Bah c'est super, vous devez avoir des sacrés souvenirs. Je prévois de faire la même mais avec le Canada qui est mon pays vraiment phare

Oh bah alors là, aucun risque de concurrence avec moi pour lui, il est tout à toi. J'ai mon Gerard Butler et ça me suffit.
D'accord, tu n'es pas obligée de me le dire, ça me regarde pas, après tout.
Tu as bien raison, moi j'étais plus sur l'Ecosse en général. Oh que oui, des souvenirs pour le reste de nos jours, c'est vraiment un pays que je conseille, en tout cas. Les Ecossais nous adorent, en plus.
Ah oui, le Canada. Pourquoi pas, mais je ne suis pas très attirée par tout ce qui est Outre-Atlantique.

HAN MON SCHTROUMPF.
Hugh.